•  

    Carrés des entiers se terminant par 5 :

       1. On sépare les unités qu'on élève au carré : par ex.: 25 ²  ›  2  5 ²  ›  2  25
       2. on multiplie le chiffre de gauche par lui-même +1 : 2  25  ›  6  25
       3. c'est fini, on recolle.

    Autres exemples :

    •   35 ²  ›  3  5 ²  ›  3  25  ›  12  25  ›  1225.
    •   75 ² ›  7  5 ²  ›  7  25  ›  56  25  ›  5625.
    •   Pratique jusque 95, au delà, on sollicite un peu plus les neurones ;-)
    •   115 ²  ›  11  5 ²  ›  11  25  ›  132 25  ›  13225.

     

    Retrouver mentalement les carrés de 11 à 19 :

        Observer la manière pour comprendre, c'est facile.

    •   11 ²  ›  11 + 1 = 12  ›  1 x 1 = 1  ›  12  1  ›  121.

    12
      01
    -----
    121  (ce schéma d'addition est utile au-delà de 13)
     

    •   12 ²  ›  12 + 2 = 14  ›  2 x 2 = 4  ›  14  4  ›  144.

    14
      04
    -----
    144
     

    •   14 ²  ›  14 + 4 = 18  ›  4 x 4 = 16  ›  18  16    196.

    18
      16
    -----
    196

     

    •   18 ²  ›  18 + 8 = 26  ›  8 x 8 = 64  ›  26  64    324.

    26
      64
    -----
    324

     

    •   19 ²  ›  19 + 9 = 28  ›  9 x 9 = 81  ›  28   81    361.

    28
      81
    -----
    361

     

    Est-ce qu'un nombre entier (n'importe lequel) est divisible par 4 ?

       1. Vérifier que le dernier chiffre est pair,
       2. L'ajouter au double de l'avant-dernier, le résultat doit être divisible par 4.

    Exemples :

    •   1234 : 4+(3x2) = 10  ›  10 n'est pas divisible par 4  ›  1234 non plus.
    •   3436546 : 6+(4x2) = 14  ›  14 n'est pas divisible par 4  ›  3436546 non plus.
    •   712334436 : 6+(3x2) = 12  ›  12 est divisible par 4  ›  712334436 aussi.

    Diviser un nombre par 4 peut être utile pour savoir si une année est bissextile par exemple.

     

    Additionner des heures :

    1. Joindre les heures aux minutes (ex.: 1 h. 50 min.  ›  150),
    2. Additionner les 2 nombres ainsi formés, ajouter 40 si c'est illisible.

    Exemples :

    •   1 h. 20 min. + 3 h. 35 min.  ›  120 + 335 = 455  ›  4 h. 55 min.
    •   1 h. 35 min. + 3 h. 55 min.  ›  135 + 355 = 490  ›  490 + 40 = 530  ›  5 h. 30 min.



    Aller plus loin :

    • brasero 2012.

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    fleche-article3    Qu'est-ce que le Bio ?
        D'apres le Pr Éric Labouze (agrégé de biochimie - génie biologique).

       

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  • matrix
     

     


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  • consommation_mouvementVert

    Quand la vieille femme a choisi le sac en plastique pour ses produits d'épicerie, la caissière lui a reproché de ne pas se mettre au "vert".

    La caissière dit à la femme que la génération de la vieille femme ne comprenait tout simplement pas le mouvement environnementaliste ; que les jeunes allaient payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !

    La vieille femme s'est excusé auprès d’elle et a expliqué: « Je suis désolée, nous n'avions pas le mouvement vert dans mon temps. »

    Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta : « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens.  C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement à votre époque ! »

    La vieille dame admît qu'à l'époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin.  Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises.  À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement vert.

    En mon temps, on montait l'escalier: on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux.  On marchait à l'épicerie aussi.  On ne prenait pas un bolide à 300 chevaux-vapeur à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux coins de rue.  Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement vert.

    À l'époque, on lavait les couches de bébé ; on ne connaissait pas les couches jetables.  On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans une machine à 2500 watts.  On utilisait l'authentique énergie éolienne et solaire pour sécher les vêtements.

    À l'époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une soeur à l'autre.  C'est vrai ! On ne connaissait pas le mouvement vert.

    À l'époque, on n'avait qu'une TV ou une radio dans la maison; pas une télé dans chaque chambre.  Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Montana.

    Dans la cuisine, on s'activait pour brasser les plats et pour préparer les repas;  on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques pour tout préparer sans effort.

    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait des rembourrages comme du papier journal ou de la ouate, pas des bulles en mousse de polystyrène ou que sais-je encore.

    À l'époque, on utilisait du "jus-de-bras" pour tondre le gazon; on n'avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées.

    À l'époque, on travaillait fort physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de santé pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, vous avez raison: on ne connaissait pas le mouvement vert.

    On remplissait les plumes fontaine au lieu d'acheter un nouveau stylo; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir tout simplement à chaque rasage.  Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement vert.

    À l'époque, les gens prenaient le tramway et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures.

    On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.

    La vieille dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement vert ; mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l'environnement.

    • brasero 2012.

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  • balance1

    Au début du 20ème siècle, un médecin américain du nom de Duncan McDougall voulut prouver scientifiquement l’existence de l’âme. Il partit du principe que si l’âme existait réellement, elle devait avoir une base matérielle, et par conséquent, un poids. Pour s’en assurer, McDougall ne voyait qu’une solution : peser un homme sur le point de mourir, avant et après son trépas. Il démarra sa macabre entreprise en 1900, après qu’un centre pour tuberculeux l’ait autorisé à mener son expérience sur des patients mourants. Le lit du premier sujet fut placé sur une grande balance, et lorsque le moribond poussa son dernier soupir, MacDougall nota une perte de 21 grammes (trois quarts d’once) avant et après la mort.

    Comme il ne trouvait pas d’explications biologiques à cette différence, le docteur en déduisit que ces 21 grammes correspondaient nécessairement au poids de l’âme. MacDougall réitéra l’expérience à 5 reprises et il obtint des résultats similaires, le confortant dans l’idée qu’il avait prouvé sa théorie. Par la suite, il reproduisit l’opération sur 15 chiens, mais sans observer de perte : selon lui, cela démontrait que seul l’homme était doté d’une âme. Lorsque les recherches du docteur furent publiées, en 1907, les médias s’en emparèrent avec frénésie, mais la communauté scientifique prit ses travaux avec d’avantage de pincettes. Les résultats de MacDougall n’étaient pas très précis, variant d’un sujet à l’autre, et son échantillon de patients était trop faible pour être vraiment significatif. Sans compter qu’il expédiait un peu rapidement les autres causes possibles de variation de poids.

    Enfin, il tombait typiquement dans le biais dit de « confirmation », qui consiste à privilégier les informations qui vont dans le sens de nos hypothèses, en s’arrangeant avec les éléments contradictoires : dans l’un des cas, la perte de poids se produisit 1 minute après la mort, mais MacDougall en conclut que cela devait venir de la personnalité flegmatique du sujet, dont l’âme n’était pas pressée de partir. Le mythe du poids de l’âme se propagea néanmoins à travers le siècle, jusqu’à être récupéré par la culture populaire, comme avec le film « 21 grammes » d’Alejandro Iñárritu. Quant à MacDougall, il mourut en 1920, sans que personne ne vienne le peser.

    Source : www.axolot.info

     

     
    Article du New York Times du 11 mars 1907
    « L'âme a un poids, pense le médecin »
    Source: Wikipédia -
       

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