• gsmDanger

    Une simple expérience de l'Université Libre de Bruxelles (U.L.B.) démontre la désorientation et l'ataxie des fourmis à proximité d'un gsm allumé et, à terme, leur décés.

    fleche-article3   Nemesistv.info

     

    Sans doute une excellente raison d'éloigner le gsm de l'oreille et du cerveau en communiquant en mode haut parleur ou avec le kit main libre chaque fois que c'est possible. 

    asero 2012

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  • Pierre Lance raconte les savants maudits et chercheurs exclus (René Quinton - Paul Kammerer - Antoine Priore - Jean Solomides - Mirko Beljanski) un excellent documentaire de Jean-Yves Bilien et Pantxo Arretz, monté par Bernard Bonnamour d'une durée de 1h.57, au cours duquel l'écrivain et philosophe Pierre Lance (directeur de la revue "Ere Nouvelle") retrace de façon très intéressante le parcours de quelques scientifiques de grand talent (docteurs en médecine, biologistes, chercheurs, etc.) en expliquant de façon objective les raisons pour lesquelles ils ont été écartés, occultés, voire farouchement combattus par les milieux scientifiques et médicaux officiels. Un document exclusif qui donne à réfléchir sur un "système" qui ignore délibéremment - pour des raisons peu avouables - des découvertes qui pourraient s'avérer des plus utiles pour bien ou mieux se porter.
     

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       Savant maudits, chercheurs exclus   (1/8 - intro:2'40")

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       Savant maudits, chercheurs exclus   (2/8)

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       Savant maudits, chercheurs exclus   (3/8)

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       Savant maudits, chercheurs exclus   (4/8)

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       Savant maudits, chercheurs exclus   (7/8)

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       Savant maudits, chercheurs exclus   (8/8)

     

    Les lecteurs conquis par le sujet peuvent aller plus loin avec l'ouvrage en 4 tomes de Pierre Lance, et dans lequel il aborde les scientifiques suivants :

    Tome 1 :

    • Paul KAMMERER – Biologiste autrichien, qui, en 1924, prouva par des expériences sur les salamandres l'hérédité des caractères acquis. Accusé à tort par des savants américains d'avoir falsifié le résultat de ses expériences, il fut "suicidé" par les nazis, car sa découverte ruinait le dogme de l'immuabilité génétique. Les savants occidentaux maintinrent le dogme, refusant de réhabiliter Kammerer.
    • Antoine BÉCHAMP – Professeur de toxicologie et de chimie médicale à la Faculté de Montpellier, qui découvrit l'élément primordial de la cellule vivante qu'il dénomma "microzyma". Il démontra que celui-ci pouvait devenir bactérie ou virus et en déduisit le "polymorphisme bactérien". Il dénonça l'erreur du monomorphisme de Pasteur qui entraînait la médecine vers la phobie du microbe et la négligence du terrain.
    • Jules TISSOT – Professeur de physiologie générale au Museum d'Histoire naturelle, qui confirma les thèses du précédent et en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens.
    • René QUINTON – Scientifique autodidacte, qui découvrit la similitude de notre milieu intérieur et de l'eau de mer. Il acquit en 1906 une célébrité mondiale en sauvant, par l'injection d'eau de mer isotonique, des milliers d'enfants atteints du choléra et il démontra que la transfusion d'eau de mer pouvait remplacer la transfusion de sang. Salué au début du XXe siècle par la presse américaine comme le "Darwin Français", il a été totalement effacé de notre culture.
    • Marcel FERRU – Professeur de sciences fondamentales, titulaire de la chaire de clinique médicale infantile à l'Ecole de Médecine de Poitiers, qui démontra l'inefficacité et la nocivité du vaccin antituberculeux BCG. Il lutta énergiquement mais sans succès contre son obligation légale adoptée en 1958. (La France est le seul pays d'Europe où ce vaccin nocif est encore obligatoire.)
    • Edgard NAZARE – Ingénieur d'aéronautique, qui inventa la "centrale aérothermique" constituée d'une tour à vortex capable de créer un cyclone artificiel permanent et produisant une énergie gratuite et non polluante dérivant directement du rayonnement solaire. Il ne parvint jamais à faire expérimenter son invention "gênante" par l'EDF et les pouvoirs publics acquis au nucléaire. Toutes ses inventions furent occultées.
    • Marcel MACAIRE – Docteur ès-sciences, qui parvint à résoudre les équations posées par Einstein, mit en évidence l'autoconfinement de l'énergie (qui confirme l'identité de la matière et de l'énergie), expliqua la distribution ordonnée de tous les corps célestes et montra que l'effet Doppler ne s'applique pas au photon et que, par voie de conséquence, le dogme de l'expansion de l'univers est erroné. Ses thèses n'ont toujours pas été acceptées par le monde scientifique.
    • René JACQUIER – Ingénieur chimiste, qui élucida, en 1947, le processus thérapeutique du "voyage en avion" contre la coqueluche, ce qui lui permit d'inventer un procédé catalytique d'oxygénothérapie efficace contre de nombreuses maladies, notamment cardio-vasculaires. Il établit également l'efficacité de l'oxygénation en traitement anti-cancéreux tant préventif que curatif. Sa thèse ne fut jamais reconnue, ni même examinée, par les Académies des sciences et de médecine.
    • Antoine PRIORÉ – Ingénieur électronicien, qui construisit en 1950 une machine rayonnant des champs électriques et électromagnétiques détruisant les tumeurs et les cellules cancéreuses. Malgré les preuves incontestables de son efficacité et le soutien de professeurs d'université bordelais ainsi que de Jacques Chaban-Delmas, son appareil, avec lequel il guérit clandestinement de nombreux malades, ne fut jamais agréé par les cancérologues parisiens.
    • Jean SOLOMIDÈS – Docteur en médecine, licencié ès-sciences, diplômé de bactériologie, chercheur à l'Institut Pasteur durant huit ans, qui inventa les "physiatrons synthétiques" destructeurs des cellules cancéreuses. Chassé de l'Institut, il ouvrit son propre laboratoire et guérit de nombreux cancéreux. L'Ordre des médecins le poursuivit pour "exercice illégal de la médecine" car il était médecin de l'Université (non de la Faculté), et ne pouvait donc être inscrit à l'Ordre pour exercer, bien qu'ayant toutes les compétences requises.
    • Mirko BELJANSKI – Docteur ès-sciences, chercheur en biologie moléculaire à l'Institut Pasteur pendant trente ans, puis en Faculté de pharmacie pendant dix ans, qui inventa des produits efficaces contre le cancer (utilisés avec profit par François Mitterrand) ainsi que contre le sida. Il créa son propre laboratoire et put guérir de nombreux malades. Sur plainte de l'Ordre des pharmaciens, il fut arrêté, menottes aux mains, à l'âge de 73 ans, puis persécuté judiciairement jusqu'à ce que mort s'ensuive.
    • Loïc LE RIBAULT – Docteur ès-sciences, inventeur de l'exoscopie (technique d'analyse au microscope électronique à balayage), ancien expert en microanalyse près la Cour d'Appel de Bordeaux, rénovateur de la police scientifique française et créateur du G5, efficace en thérapie contre de nombreuses maladies, qu'il ne put jamais faire agréer en France (mais qui l'est dans le Commonwealth). Poursuivi par l'Ordre des médecins, il fut emprisonné durant deux mois et demi. Il décéda en 2007.

    Tome 2 :

    • Nikola TESLA – Ingénieur américain d'origine serbe, qui fut un des pionniers de l'électricité et le promoteur du courant alternatif aujourd'hui mondialement adopté. Il parvenait au cours de ses expériences à produire dans un bruit de tonnerre des éclairs de 40 mètres et il découvrit le moyen d'utiliser la Terre comme une prise électrique géante pour produire de l'énergie électrique en quantité illimitée. Après sa mort, cette invention fut occultée et jamais exploitée,
    • Linus PAULING – Biochimiste américain mondialement connu, Prix Nobel de chimie 1954 et Prix Nobel de la Paix 1963. Bien qu'unanimement célébré, il fut soudain violemment critiqué et mis à l'index lorsqu'il développa sa théorie selon laquelle le cancer peut être mis en échec par la simple prise de Vitamine C à hautes doses. Le corps médical fut contraint d'admettre la valeur de cette vitamine, mais déconseilla les fortes doses et n'admit que les doses minimes sans véritable effet thérapeutique,
    • André GERNEZ – Ancien médecin-chef à l'hôpital de Roubaix, qui découvrit dans les années soixante le moyen de stopper toute apparition du cancer par la prise périodique d'un sédatif léger couramment utilisé pour les nourrissons et ne présentant aucun effet secondaire. Bien qu'ayant retenu un moment l'attention du gouvernement américain du Président Nixon, cette découverte fut finalement étouffée en France comme aux U.S.A,
    • Gaston NAESSENS –  Inventeur en 1945 d'un médicament anti-cancéreux très efficace, grâce à un microscope révolutionnaire mis au point par lui-même. Il fut poursuivi et condamné en France pour exercice illégal de la médecine et il dut, en 1964, s'exiler au Québec, d'où il continue de diffuser son produit vers 80 pays, malgré les ennuis que lui créent parfois les autorités médicales canadiennes,
    • David REES-EVANS – Guérisseur gallois héritier d'une longue tradition familiale en phytothérapie, qui parvenait à détruire les tumeurs cancéreuses avec des cataplasmes de plantes. Malgré divers procès, sa notoriété due à ses succès ne cessa de s'étendre en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. La pression de l'opinion publique obtint du gouvernemental Britannique la nomination d'une Commission d'enquête officielle, mais celle-ci contesta ses résultats et tenta de le discréditer,
    • Jean-Pierre MASCHI – Médecin généraliste niçois qui découvrit dans les années 60 que la "pollution électrique" était la cause principale de la sclérose en plaques. Il mit au point un traitement efficace pour la soigner. Ses nombreux succès lui valurent les premières pages de la presse et une accusation de publicité par l'Ordre des médecins, qui le radia à vie. Sans se soucier de cette radiation, il continua de soigner de nombreux patients.
    • Paul THÉPENIER – Ingénieur des arts et métiers, spécialiste des exploitations pétrolières, qui découvrit avant la guerre de 1940 le moyen de soigner avec succès la tuberculose et le cancer grâce à des moisissures de pétrole. Encouragé par un professeur de médecine, il put effectuer en milieu hospitalier des essais réussis. Mais toutes ses communications à l'Académie de médecine furent ignorées et sa découverte fut négligée.
    • Pierre DELBET – Grand patron chirurgien, membre des Académies de médecine et de chirurgie, qui découvrit durant la guerre de 14-18 l'effet régénérateur et anticancéreux du chlorure de magnésium. Il prouva la validité de cette thérapie par de nombreuses expériences ainsi que par des cartes géographiques faisant apparaître la bien moindre fréquence du cancer dans les régions riches en magnésium, mais il ne parvint jamais à persuader ses confrères de proposer une politique préventive du cancer.
    • Auguste LUMIÈRE – Co-inventeur du cinéma, qui consacra la seconde partie de sa vie à des recherches médicales très poussées et couronnées de succès, notamment contre la tuberculose. Auteur de plus de 20 ouvrages médicaux, créateur de 150 spécialités pharmaceutiques et d'une clinique lyonnaise réputée employant 15 médecins et 30 collaborateurs, il ne put jamais faire reconnaître officiellement la valeur de ses travaux et son oeuvre tomba dans l'oubli.
    • Norbert DUFFAUT – Chimiste qui découvrit en 1957 le silicium organique et ses vertus thérapeutiques et régénératrices. Il put apporter, au cours d'essais hospitaliers, la preuve de son efficacité contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires. Malgré des succès spectaculaires et des demandes réitérées, il ne réussit jamais à obtenir l'autorisation de mise sur le marché de son DNR comme médicament.
    • Jacques BENVENISTE - Interne des hôpitaux, directeur de recherche à l'Inserm, qui découvrit en 1984 le phénomène dit "de la mémoire de l'eau", lequel explique l'efficacité des hautes dilutions homéopathiques (volumes aquatiques dans lesquels toute trace de la molécule initialement diffusée a disparu). Il expliqua leur effet par la transmission d'informations imprégnées, de surcroît enregistrables et transmissibles par Internet. Il subira toujours l'ostracisme des cénacles officiels jusqu'à son décès en 2004.
    • Louis KERVRAN - Biologiste qui découvrit dans les années 60 la réalité des transmutations biologiques, c'est-à-dire la transformation des atomes à l'intérieur des organismes vivants, analogue aux transmutations revendiquées par les alchimistes médiévaux. (C'est ainsi que les poules qui ne trouvent pas de calcaire dans leur environnement picorent les parcelles de mica que leur corps transforme en calcaire pour édifier les coquilles d'oeufs). Malgré les nombreuses preuves qu'il apporta de ce que l'on appela après lui la "fusion froide", le monde scientifique refuse encore de croire à cette possibilité qui ouvrirait à la science de larges horizons énergétiques et biologiques.

    Tome 3 :

    • Georges LAKHOVSKY – Ingénieur russe émigré en France, inventeur d'un tire-fond révolutionnaire (vis qui fixe les rails de chemin de fer) ayant amélioré la sécurité des trains. Il créa en 1923 son premier appareil émetteur à usage thérapeutique, l'oscillateur à ondes multiples, qui put guérir de nombreux cancéreux. La médecine officielle refusa de reconnaître la valeur de l'appareil, malgré les multiples témoignages de praticiens de tous pays qui l'utilisèrent avec succès.
    • Royal Raymond RIFE – Ingénieur américain, qui mènera aux USA des travaux analogues à ceux de Lakhovsky et construira des appareils également efficaces. Il fut le premier chercheur à identifier et photographier au microscope le bacille de la tuberculose. Ayant refusé de se plier aux exigences du dirigeant corrompu d'une grande association médicale, il sera traîné en justice et complètement ruiné. Malgré une reconnaissance tardive, il terminera sa vie dans une misère totale.
    • Jean BERTIN – Ingénieur français, inventeur de l'Aérotrain, le premier train à grande vitesse se déplaçant sur coussin d'air et qui atteignit la vitesse record de 440 km/heure. Bien que soutenu par de nombreux ministres, mais contré par les dirigeants de la SNCF, son train performant ne sera jamais agréé, malgré des coûts d'installation et d'exploitation très inférieurs à ceux du TGV lancé ensuite.
    • Alexandre SALMANOFF – Prestigieux docteur russe (diplômé des Facultés de Moscou, de Berlin et de Pavie) qui fut chargé durant la révolution d'organiser la lutte contre la tuberculose et de réorganiser les stations thermales sur l'ensemble du territoire russe et devint le médecin particulier de Lénine. Non communiste, il émigra en France en 1922, où il élabora une méthode complète de médecine naturelle que le corps médical refusa d'examiner.
    • Ivan MAKHONINE – Ingénieur russe ayant réalisé le premier train électrique qui fonctionna durant deux années entre St Petersbourg et Moscou. Il émigra en France en 1922. Il avait inventé un carburant révolutionnaire ininflammable à froid et qui était extrait des charbons et huiles lourdes. Extrêmement économique et trois fois plus performant que l'essence, ce carburant ne parvint jamais à être agréé et l'inventeur se heurta aux trusts pétroliers jusqu'à la fin de sa vie.
    • Ernest VILLEQUEZ – Professeur de médecine français, il découvrit le parasitisme latent du sang et inventa un test de dépistage du cancer permettant de déceler des micro tumeurs qu'aucune autre technique ne permet de découvrir. Malgré un taux de réussite de 95 %, les " grands patrons " cancérologues n'acceptèrent jamais de le pratiquer.
    • Michel MOIROT – Médecin français qui découvrit l'importance des traumatismes psychologiques dans la genèse du cancer. Il se livra à de longues études sur des patients en milieu protégé, en l'occurrence au sein des confréries religieuses. Malgré une démonstration rigoureuse et des confirmations multiples, il ne put faire admettre sa théorie par les mandarins, qui refusèrent d'abandonner à la psychologie une partie de leur " domaine réservé ".
    • Ryke Geerd HAMER – Médecin allemand qui fit la même découverte que Moirot, à la suite d'un drame familial (le meurtre de son fils) qui déclencha un cancer chez lui et chez son épouse. Il mit au point un traitement original appelé " médecine nouvelle " grâce auquel il put guérir de nombreux malades. Mais il fut radié du corps médical en Allemagne et en Autriche, puis poursuivi et condamné en France, où il est actuellement en prison.
    • Philippe LAGARDE – Médecin français qui perfectionna une technique de dépistage du cancer élaborée par le chercheur allemand Henri Heitan. Il mit au point un traitement anticancéreux efficace à base de produits autorisés en Suisse. Poursuivi sur plainte de l'Ordre des médecins, il fut emprisonné à Nice. À sa sortie de prison, il s'exila vers l'Italie et il créa en République de San Marino le Centre Health Service, où il dirige une équipe médicale performante pratiquant toutes les thérapies efficaces.
    • Hans NIEPER – Médecin allemand réputé, il combattit toute sa vie le conformisme médical et inventa des traitements originaux efficaces que le corps médical continue d'ignorer. Également physicien, il créa l'Association allemande pour l'énergie du champ du vide, qui encouragea de nombreuses expériences dans la recherche de nouvelles énergies, notamment sur " l'eau combustible ", permettant de faire fonctionner un moteur " brûlant " 90 % d'eau.
    • Joël STERNHEIMER – Physicien français qui a inventé un procédé de régulation de la synthèse protéique exploitant l'influence de la musique sur les organismes vivants. Ses expériences ont démontré que la mélodie spécifique d'une protéine, si elle est amplifiée et diffusée à proximité immédiate d'un organisme, peut stimuler en lui la synthèse de cette protéine. C'est ainsi que la production d'un plant de tomate a pu être multipliée par vingt. Si cette technique était appliquée, le problème de la faim dans le monde serait résolu.
    • Jean-Pierre PETIT – Physicien français marginalisé par la nomenklatura scientifique pour son originalité, dérangeante dans de nombreux domaines, dont les futurs voyages spatiaux. Seul spécialiste français compétent en MHD (magnétohydrodynamisme), il s'est illustré en réalisant des systèmes de propulsion approchant les performances réalisées par les OVNIs, dont la réalité et la provenance extra-terrestre ne font pour lui aucun doute. L'Etat a essayé d'exploiter ses travaux tout en l'écartant des expériences, ce qui a conduit à l'échec.

    Tome 4 :

    • Viktor SCHAUBERGER – Naturaliste autrichien qui découvrit dans les années trente comment produire une énergie égalant 127 fois celle obtenue par les moyens classiques. Aujourd’hui méconnu.
    • Emilia MASSON – Archéologue française qui découvrit dans le massif du Mercantour les traces d’un très antique culte religieux. On dégrada le site pour la discréditer.
    • André BERTHIER – Archéologue français qui trouva à La Chaux-des- Crotenoy le site authentique de la bataille d’Alésia. Il mourut sans avoir réussi à faire triompher la vérité historique.
    • Jean ELMIGER – Médecin homéopathe suisse qui mit au point la méthode «homéopathie séquentielle». Malgré l’accumulation des preuves de validité, il se heurte à l’hostilité du corps médical.
    • Jean LAIGRET – Médecin et bactériologiste français qui parvint à fabriquer du pétrole à partir de cultures bactériennes. Son invention est demeurée inexploitée à ce jour.
    • Yvette PARÈS – Docteur en sciences et en médecine qui devint praticienne des thérapies traditionnelles africaines et prouva leur efficacité contre la lèpre, le paludisme et le sida. En vain.  
    • Marcel VIOLET – Ingénieur français inventeur d’un traitement électrovibratoire de l’eau dynamisant l’agriculture ou la santé humaine. Jamais reconnu par la science «officielle».
    • Raoul ESTRIPEAUT – Professeur français d’anthropologie pathologique qui inventa un remède anticancéreux très efficace à base d’enzymes pancréatiques, méprisé par les cancérologues.
    • Arthur VERNES – Médecin français vainqueur de la syphilis qui créa en 1920 un des meilleurs tests de dépistage précoce du cancer, ainsi qu’un traitement efficace, tous deux oubliés.
    • Matthias RATH – Médecin allemand créateur du concept de médecine cellulaire et spécialiste de la vitaminothérapie. Bête noire de la «nomenklatura » médicale qu’il défie sur Internet.
    • Félix d’HÉRELLE – Médecin québécois qui fit carrière en France et inventa un excellent traitement des maladies infectieuses par des virus bactériophages. Mondialement connu puis oublié.
    • Hulda CLARK – Doctoresse canadienne spécialiste en physiologie cellulaire, qui a traité plus de 2000 cancers et accompli six mois de prison aux Etats-Unis avant d’être libérée sur un non-lieu.

    openyoureyes.over-blog.ch

    • brasero 2012.

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  • Les orties sont notamment reconnaissables à leurs
    poils urticants, disposés sur le long des tiges
    et sous les feuilles principalement.

    Si d'aventure vous tombez dans les orties, inutile d'en sortir en criant : gonflez plutôt vos poumons et bloquez fermement votre respiration, restez concentrés sur ce que vous faites et vous serez ainsi immunisés le temps nécessaire pour en sortir calmement.

    Par expérience, le truc fonctionne mais ne dure pas indéfiniment, vous devriez cependant avoir tout le temps d'en sortir, voire même d'y retourner 2 ou 3 fois !   ;-)

    Il serait dommage de remettre l'exploit sans une bonne paire de ciseaux, un sac et, à moins de préférer l'apnée, des gants : Les orties, consommées en tisane par exemple, ont un agréable effet dépuratif et reminéralisant.

    Il existe plusieurs systèmes D pour les débarrasser avant consommation des insectes éventuels, pontes, etc.. Personellement je place les orties dans un sac pour y ajouter 1 ou 2 morceaux d'ouate imbibés de vinaigre d'alcool, ce qui répulse les insectes. Ensuite, et juste avant de les préparer (tisane, soupe, cuites comme des épinards, etc.), secouer les feuilles dans un récipient fermé avec de l'eau et un peu de bicarbonate alimentaire.

    Les orties, même cueillies, gardent un pouvoir urtiquant mais il disparaît complètement à la cuisson. Les brûlures d'orties ne sont pas connues pour être dangereuses (personnes à risques, enfants, femmes enceintes, etc. se renseigner).

       

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  • « Une alimentation optimale
    est la médecine de demain
    . »
    - Dr Linus Pauling
    Prix Nobel de chimie en 1954
    Prix Nobel de la paix en 1962


     

    Par le biais de l'alimentation, ce documentaire révélateur lève le voile sur le marché de la santé et met le doigt sur des pratiques qui maintiennent notre santé "sous perfusion". Il explore les bienfaits peu coûteux et sans risque d’une alimentation saine riche en composantes crues et Bio tout en remettant en exergue les (très) hautes doses curatives de vitamines aux effets surprenants et sans effets secondaires, mais dont l'information est mise sous scellé pharmaco-médical et médiatique.
     

    Documentaire d'environ 75 minutes (4 x 18) avec pour intervenants :

    • Charlotte Gerson, fondatrice de l'institut Gerson (la thérapie Gerson est une thérapie alimentaire alternative prétendue curatrice du cancer et de la plupart des maladies chroniques et dégénératives),
    • Dr Dan Rogers, Médecin et Naturopathe,
    • Dr Andrew W Saul, Spécialiste en thérapies nutritionelles, auteur,
    • Dr Victor Zeines, Chirurgien dentiste, Spécialiste en dentisterie holistique et en nutrition,
    • David Wolfe, Expert en crudivorisme et super-aliments,
    • Jerome Burne, Journaliste médical et auteur,
    • Philip Day, Journaliste d'investigation et auteur.

     

    fleche-article3    On est ce qu'on mange (part.1/4)

    fleche-article3    On est ce qu'on mange (part.2/4)

    fleche-article3    On est ce qu'on mange (part.3/4)

    fleche-article3    On est ce qu'on mange (part.4/4).

       

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  • Le professeur Béchamp (*) découvrit un grand nombre de petits corps granuleux dans les échantillons de sang vivant qu'il observait à travers son microscope. Beaucoup de ses contemporains écartaient ces minuscules formes de vie comme une contamination de laboratoire sans importance. Mais elles intriguaient Béchamp. Il les nomma « microzymas » ou « petits corps. »

     

    La médecine moderne est solidement établie sur la « théorie des germes » fait connaître par Louis Pasteur dans les années 1860. Au moment où nous abordons le 21ème siècle, cette théorie pasteurienne vieille de 140 ans est toujours le paradigme de la lutte contre la maladie de la médecine occidentale.

    Seulement de nos jours, devant l’énorme déferlement de maladies infectieuses et la rapide propagation épidémique du cancer, du diabète, des maladies cardiaques et des autres maladies chroniques, nous devons nous demander si la théorie de Pasteur est vraiment sérieuse.

    Considérez ces statistiques alarmantes d'un rapport commandité par le Nutrition Institute of America en octobre 2003 : 2,2 millions de patients hospitalisés sont victimes d’effets indésirables de médicaments, les remèdes prescrits entraînant chaque année la mort de 106.000 personnes. En d'autres termes, plus de 2.000 clients meurent chaque semaine aux USA de remèdes prescrits correctement à des doses convenablement indiquées.

    Il s’agit d’un grave réquisitoire contre une médecine pharmaceutique qui est indissolublement liée à la théorie des germes de Pasteur.

          Selon Pasteur :

    • Les germes ou microbes provoquent des maladies.
    • Les germes envahissent le corps depuis l'extérieur, c'est à dire par l’intermédiaire de l'air, de l'eau ou des aliments.
    • Le sang humain est stérile et peut seulement être infecté par des microbes de l'extérieur.
    • Les germes sont monomorphes, c'est à dire ont une forme unique et sont classables en espèces.
    • Chaque maladie précise est le fait d’un germe spécifique.
    • Les germes doivent être tués par des produits pharmaceutiques.

    Dans les années 1870, la théorie pasteurienne des germes fut développée par William Koch, un contemporain et rival de Pasteur. De nos jours, les preuves de cette théorie sont encore connues sous le nom de « Postulats de Koch. »

    La contribution de Koch à la théorie des germes fut essentiellement de prouver qu'un type précis de germe donne une maladie précise, que le germe peut être trouvé chez toute personne atteinte de sa maladie particulière, mais pas chez les gens sains, et que quiconque exposé à des germes attraperait la maladie.

    Or, quand il s’aperçut que des gens sains peuvent porter les germes de certaines maladies sans présenter aucun symptôme, Koch dut renoncer à une partie de son premier postulat. Il dut aussi revoir le troisième, quand il fut démontré qu’on peut être exposé à des germes virulents sans pourtant attraper la maladie.

    Les « fondements » de la nouvelle théorie des germes montraient déjà des fissures.

    Pourtant, à la fin des années 1800, en dépit d’être fortement controversée, la théorie des germes fut promptement adoptée par les instances médicales de l’époque. Cette nouvelle théorie du microbe envahissant le corps depuis l'extérieur conféra les pleins pouvoirs à l'industrie médicale et pharmaceutique devenue gardienne de la santé humaine et animale. Les gens devinrent dépendants de la jeune industrie pharmaco-médicale pour l’information et la protection de la maladie. C’est de cette manière que naquit la médecine moderne.

    Un certain nombre d'éminents scientifiques s’opposaient à Pasteur et à la théorie des germes, notamment le très respecté professeur Antoine Béchamp. Homme discret et modeste, Béchamp était un scientifique bien plus brillant que le chimiste Louis Pasteur qui faisait sa propre réclame (on pense aujourd'hui que Pasteur s’appropria beaucoup de travaux de Béchamp et les fit passer pour les siens. Cela a incité R.B. Pearson à écrire un livre dans les années 1940 intitulé « Pasteur, Plagiarist, Imposter. »)

    Béchamp et les autres scientifiques croyaient en la théorie du pléomorphisme, qu’un microbe peut évoluer à travers de nombreuses formes, de virus à bactérie, levure, champignon, moisissure, et peut même redevenir à nouveau un proto-virus. Béchamp pouvait voir clairement ce cycle se manifester à travers son microscope. Les grands médecins rejetaient à l'époque le pléomorphisme, tout comme ils ne s’intéressent même pas aux phénomènes pléomorphes filmés et documentés par des scientifiques d'aujourd'hui, comme le Dr Robert O. Young de San Diego en Californie.

    Claude Bernard, un autre contemporain de Béchamp, expliquait la théorie pléomorphe et disait que le terrain intérieur ou « milieu interne » et non pas les microbes, est la cause de la maladie. Il découvrit que le sang et les tissus acides fournissent un terrain idéal au développement de la maladie. Quand le terrain devient acide, les microbes évoluent en formes pathogènes et effectuent le travail que la nature leur a assigné en tant qu’employés de nettoyage et fossoyeurs, ils récupèrent les tissus enflammés ou infectés.

    L'acidité ou l'équilibre acido-basique du sang se mesure à son pH. Le pH ou potentiel Hydrogène est un indicateur très important de la bonne santé. Le sang fera tout son possible pour maintenir son pH à 7,365, c’est-à-dire, légèrement alcalin. Il prendra même des réserves alcalines, comme le calcium des os, pour neutraliser toute augmentation de l'acidité (cela peut aboutir à une situation étiquetée ostéoporose par la médecine moderne.)

    Quand le pH chute, même d’un dixième, la montée de l'acidité est interprétée par les microbes, déjà présents par milliards dans le corps, comme un signe de mort ou d’agonie de l’organisme. Cela incite les bactéries inoffensives à se transformer en enzymes et moisissures virulentes pour réduire le corps en la poussière d’où il est sorti.

    Pasteur lui-même réalisa par la suite cette vérité, et, sur son lit de mort, il déclara que « Bernard avait raison... le microbe n'est rien ; le terrain est tout ». Mais les grands médecins avaient désormais choisi de l'ignorer. Ils pressentaient que la théorie des germes offre une occasion de tout repos pour amasser une fortune colossale.

    Dans la communauté scientifique, Béchamp et d’autres s’opposaient à la théorie des germes et plaidaient en faveur de la théorie du pléomorphisme en disant :

    • Le terrain acide, et non pas les germes, provoque la maladie.
    • Les germes sont déjà dans le corps par milliards et ne doivent pas nécessairement venir de l'extérieur (même si cela peut parfois arriver).
    • Le sang n'est pas stérile ; il peut contenir plusieurs formes microbiennes.
    • Les germes sont pléomorphes, c'est à dire, sont capables de passer par de nombreuses formes (le Dr Gaston Naessens a identifié un microbe subissant 16 étapes évolutives différentes).
    • Pratiquement toutes les maladies sont dues à l’acidité du terrain.
    • Les maladies peuvent être bloquées ou annulées en augmentant l'alcalinité du terrain.

    Le professeur Béchamp fut conduit à élaborer sa théorie pléomorphe par la découverte d'un grand nombre de petits corps granuleux dans les échantillons de sang vivant qu'il observait à travers son microscope. Beaucoup de ses contemporains écartaient ces minuscules formes de vie comme une contamination de laboratoire sans importance. Mais elles intriguaient Béchamp. Il les nomma « microzymas » ou « petits corps. »

    Il découvrit des microzymas dans chaque cellule, dans le sang, chez des animaux, dans des plantes, et même dans des roches. Il découvrit leur présence dans les restes d'animaux morts depuis de nombreuses années, après que le corps de l'animal soit presque tombé en poussière. Il observa que, dans un organisme sain, les microzymas travaillent à réparer et nourrir et chaque cellule ; mais, si le terrain devient acide, les microzymas se transforment en virus, bactéries, levures, champignons et moisissures, et s’attaquent à la décomposition de leur hôte.

    L’œuvre de Béchamp fut ignorée, ridiculisée, étouffée et vite oubliée. Au fil des ans, quelques scientifiques ont découvert des phénomènes pléomorphes par eux-mêmes - Günther Enderlein, Royal Raymond Rife, Wilhelm Reich, Virginia Livingston-Wheeler, Gaston Naessens et, plus récemment, le Dr Robert O. Young (de San Diego) et le Dr David Jubb (de New York). La plupart n'avaient pas puisé dans les travaux des scientifiques antérieurs et pensaient que cette découverte était exclusivement la leur. Tout comme Béchamp avant eux, ils ont eux aussi constaté qu’on n’a pas tenu compte de leur découverte ou bien qu’elle a été étouffée.

    Tous furent fascinés par les « petits corps » que Béchamp avait appelé « microzymas ». Ils furent appelés « protites » par Enderlein, « progenitor cryptocides » par Livingston-Wheeler, et « somatides » par Naessens. Mais tous constatèrent l’impossibilité de détruire ces « petits corps », même en les soumettant aux fortes températures de la carbonisation ou à de hautes doses de radiations.

    Le Dr David Jubb les qualifie de « colloïdes de la vie » et dit qu'ils sont indestructibles. Ils résistent « à une chaleur énorme, aux rayonnements et aux produits chimiques, et peuvent résider dans des solutions pétrochimiques, dans la roche brûlante au plus profond de la Terre, dans des météorites et dans l'eau radioactive des cœurs de centrales nucléaires. Après la mort de leur hôte, les colloïdes de la vie retournent à la terre. Le colloïde de la vie est le facteur inconnu entre animé et inanimé » (Jubbs Cell Rejuvenation, p.14.).

    Cette dernière phrase résonne pas mal. Le Dr Jubb dit que les colloïdes de la vie, ou microzymas, sont les plus petites formes de vie observables entre esprit et matière.

    Nous avons encore beaucoup à apprendre sur la vie, la médecine et la guérison, mais nous devons aborder ces choses avec un esprit ouvert, curieux.

    Combien de temps faudra-t-il à la médecine moderne pour accepter que les microbes ne donnent pas la maladie mais apparaissent juste à la suite de la maladie ? Qui financera la recherche sur l’œuvre pléomorphe entamée par Béchamp, Enderlein, Rife et les autres ? Qui sera assez courageux pour affronter la doctrinaire approche pasteurienne comptant sur les médicaments de la grosse industrie pharmaceutique ?

    Quand un groupe de gens est exposé à un virus ou une toxine alimentaire, la médecine moderne examine seulement ceux qui tombent malades. Ce qu'elle devrait faire, c'est examiner ceux qui n'ont pas été malades. On découvrirait sans doute que le sang et les tissus des malades étaient acides, tandis qu’ils étaient alcalins chez ceux qui n'ont pas succombé au virus ou à la toxine. Voilà où réside la clé de la santé.

    La maladie ne peut pas s’installer dans un organisme alcalin. Un régime alimentaire et un mode de vie alcalinisants peuvent prévenir et annuler la maladie. Mais ne vous attendez pas à ce que ce soit avalisé par la médecine orthodoxe : Ce n’est pas porteur de profits.

     

    Source : www.naturalnews.com – Traduction copyleft de Pétrus Lombard, le 10 fév. 2011 sur Alterinfo.net.

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    © Brasero.kazeo.com 2012    ffezfzefazef

     (*) : Antoine Béchamp, 1816-1908, docteur en Sciences, en Médecine, en Chimie et en Pharmacie.


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