• vitamines

    Contrairement aux autres nutriments organiques, les vitamines ne sont pas des sources d'énergie, mais c'est grâce à elles que les cellules peuvent utiliser les nutriments qui ont ces fonctions.  En l'absence de vitamines, les glucides, les protéines et les lipides que nous consommons seraient inutilisables (www.guidenutrition.com).

    Les vitamines hydrosolubles ne sont pas stockables et les apports excédentaires sont éliminés par la voie urinaire. À l'inverse, les vitamines liposolubles sont absorbées avec les graisses et, comme celles-ci, sont stockables dans l'organisme. 

    • Vitamines hydrosolubles : B1 à B12, C, H.
    • Vitamines liposolubles : A, D, E, K.
       

    BON A SAVOIR :

    Une part importante des vitamines est détruite par la chaleur, l'air et les rayons ultraviolets. La cuisson d'un aliment par exemple, élimine près de 50 % des vitamines.

    Les vitamines hydrosolubles partent aussi en grande partie dans l'eau de cuisson. Ainsi, une soupe ou un potage, pour lequel on garde l'eau, ou la cuisson à la vapeur, avec laquelle les aliments ne trempent pas dans l'eau, permettent de garder une quantité nettement supérieure de vitamines.
     

    fleche-article3   Présentation des vitamines, propriétés, sources :
       www.guidenutrition.com   www.22etoiles.com

    fleche-article3   Apports vitaminiques de plus de 150 aliments :
       www.vitalor.com   fr.wikipedia.org

    • brasero 2012.

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  • Acte 1 :

    LES RAYONS T
    source : "La science est un jeu" de Régine Quéva, éd. Librio. ISBN 978-2-290-00212-4

    Connus depuis plus d'un siècle, les rayons T (térahertz) sont situés entre les infrarouges et les micro-ondes à 10 puissance 12 hertz. Les photons térahertz - de faible énergie - peuvent traverser presque tous les matériaux, sauf l'eau et les métaux. Ces ondes, mi-radio, mi-lumière, pénètrent dans le tissu, le plastique, la brique... sans pénétrer dans le corps humain. On peut donc obtenir, grâce aux rayons T, une image du corps au travers des habits. En regardant les objets par transparence, il est possible, par exemple, de compter le nombre d'allumettes dans une boîte ou de détecter le contenu d'un colis suspect.
    Utiles pour la sécurité (port d'armes), pour la lutte contre le trafic d'animaux (cachés dans des caisses), ou encore en chirurgie dentaire (pour voir une dent en 3 dimensions), les applications des rayons T n'en finissent pas de susciter de l'intérêt et des envies de passe-muraille.

     

    Acte 2 :

    LES EURODEPUTES INQUIETS DES SCANNEURS QUI METTENT A NU
    source : Journal METRO (Belgique - www.metrotime.be), édition du 24 oct. 2008.

    STRASBOURG. Le parlement européen a requis des clarifications sur l'homologation en Europe d'un nouveau type de scanneurs de sécurité, lesquels permettent de voir sous les vêtements, soulevant dès lors des préoccupations pour la protection de la vie privée. Ces nouveaux appareils, déjà à l'essai dans différents aéroports européens permettent de manière électronique de "mettre à nu" les personnes qui défilent afin de distinguer l'éventuelle présence d'armes ou autres objets illicites.
    La Commission européenne envisagerait d'autoriser formellement ces nouveaux appareils qui permettent d'accélérer les contrôles de sécurité dès 2010.
    Cette nouvelle technologie est toutefois critiquée par le Parlement européen qui se demande par qui, et dans quelles conditions, ces images seront visionnées.
    Le commissaire européen compétant pour ce dossier, l'Italien Antonio Tajani (Transports) a promis la conduite d'évaluation technique et la consultation du superviseur européen pour la protection de la vie privée.
    www.europarl.europa.eu/news/public/default_fr.htm

     


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  • On a tous découvert plus ou moins récemment la sexualité des bonobos, à travers une vague de documentaires qui a déferlé sur les chaînes de télé. Mais cette vaste campagne n'était en réalité qu'une  entreprise destinée à nous cacher une vérité bien pire, une vérité que nous cotoyons tous les jours, et intimement...

    L'article suivant est tiré de l'Encyclopédie du savoir relatif et absolu de Bernard Werber, et s'intitule "Sexualité des punaises des lits". Ames sensibles soyez prévenues.

     

    De toutes les formes de sexualité animale, celle des punaises des lits (Cimex lectularius) est la plus stupéfiante. Nulle imagination humaine n'égale une telle perversion.

    Première particularité : le priapisme. La punaise des lits copule énormément. Certains individus ont plus de deux cents rapports par jour.

    Seconde particularité : l'homosexualité et la bestialité. Les punaises des lits ont du mal à distinguer leurs congénères (...). 50% de leurs rapports sont homosexuels, 20% se produisent avec des animaux étrangers, 30% enfin s'effectuent avec des femelles.

    Troisième particularité : le pénis perforateur. Les punaises des lits sont équipées d'un long sexe à corne pointue. Au moyen de cet outil semblable à une seringue, les mâles percent les carapaces et injectent leur semence n'importe où, dans la tête, le ventre, les pattes, le dos et même le coeur de leur dame ! L'opération n'affecte guère la santé des femelles, mais comment tomber enceinte dans ces conditions ? D'où la...

    Quatrième particularité : la vierge enceinte. De l'extérieur, son vagin paraît intact et, pourtant, elle a reçu un coup de pénis dans le dos. Comment les spermatozoïdes vont-ils alors survivre dans le sang ? En fait, la plupart seront détruits par le système immunitaire, tels de vulgaires microbes étrangers. Pour multipliers les chances qu'une centaine de ces gamètes mâles arrivent à destination, la quantité de sperme lâchée est phénoménale. A titre de comparaison, si les mâles punaises étaient dotés d'une taille humaine, ils expédieraient trente litres de sperme à chaque éjaculation. Sur cette multitude, un tout petit nombre survivra.
    Cachés dans les recoins des artères, planqués dans les veines, ils attendront leur heure. La femelle passe l'hiver squattée par ces locataires clandestins. Au printemps, guidés par l'instinct, tous les spermatozoïdes de la tête, des pattes et du ventre se rejoignent autour des ovaires, les transpercent et s'y enfoncent (...).

    Cinquième particularité : les femelles aux sexes multiples. A force de se faire perforer n'importe où par des mâles indélicats, les femelles punaises se retrouvent couvertes de cicatrices dessinant des fentes brunes cernées d'une zone claire, semblables à des cibles. On peut ainsi savoir précisément combien la femelle a connu d'accouplements.
    La nature a encouragé ces coquineries en engendrant d'étranges adaptations. Génération après génération, des mutations ont abouti à l'incroyable. Les filles punaises se sont mises à naître nanties de ces cibles brunes, auréolées de clair, sur leur dos. A chaque tache correspond un receptacle, "sexe succursale" directemement relié au sexe principal (...).

    Sixième particularité : l'autococufiage. Que se passe-t-il lorsqu'un mâle est perforé par un autre mâle ? Le sperme survit et fonce comme à son habitude vers la région des ovaires. N'en trouvant pas, il déferle sur les canaux déférents de son hôte et se mêle à ses spermatozoïdes autochtones. Résultat : lorsque le mâle passif percera, lui, une dame, il lui injectera ses propres spermatozoïdes mais aussi ceux du mâle avec lequel il aura entretenu des rapports homosexuels.

    Septième particularité : l'hermaphrodisme. (...) Les mâles punaises ont eux aussi muté. En Afrique vit la punaise Afrocimex constrictus dont les mâles naissent avec de petits vagins secondaires dans le dos. Ceux-ci, cependant, ne sont pas féconds. Il semble qu'ils soient là à titre "décoratif" ou encore pour encourager les rapports homosexuels.

    Huitième particularité : le sexe-canon qui tire à distance. Certaines espèces de punaises tropicales, les Antochorides scolopelliens, en sont pourvues. Le canal spermatique forme un gros tube épais, roulé en colimaçon, dans lequel le liquide séminal est comprimé. Le sperme est ensuite propulsé à grande vitesse par des muscles spéciaux (...). Ainsi, lorsqu'un mâle aperçoit une femelle à quelques centimètres de lui, il vise de son pénis les cibles vagins dans le dos de la demoiselle. Le jet fend les airs. La puissance de ces tirs est telle que le sperme parvient à transpercer la carapace, plus fine en ces endroits.

     

    Moralité : Battons nos draps de lit plus souvent !


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  • Il est possible d'utiliser son PC tout en écoutant un fond musical relaxant sur internet. Et c'est plutôt facile !

    Voici comment faire un essai :

    1 - Copier cette URL de streaming (de Zenradio.fm) :   

    http://flux1.zenradio.fr:8800

    2 - Utiliser un lecteur pour l'y coller :

    par ex. pour Windows Media Player : menu Fichier > Ouvrir une URL... ;
    pour VLC : menu Média > Ouvrir un flux réseau... ;
    etc.

    C'est tout :)



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  • Coopération-Réciprocité-Pardon

    En 1974, le philosophe et pédagogue Anatol Rapaport de l'université de Toronto émet l'idée que la manière la plus efficace de se comporter vis-à-vis d'autrui est : 1. la coopération, 2. la réciprocité, 3. le pardon.

    C'est-à-dire que lorsqu'un individu, ou une structure, ou un groupe rencontre d'autres individus, structure ou groupe, il a tout intêret à rechercher une alliance. Ensuite il importe, selon la rêgle de réciprocité, de donner à l'autre en fonction de ce que l'on reçoit. Si l'autre aide, on l'aide ; si l'autre agresse, il faut l'agresser en retour, de la même manière et avec la même intensité. Enfin il faut pardonner et proposer de nouveau la coopération.

    En 1979, le mathématicien Robert Axelrod organisa un tournoi entre logiciels autonomes capables de se comporter comme des êtres vivants. Une seule contrainte : chaque programme devait être équipé d'une routine de communication, sous-programme lui permettant de discuter avec ses voisins.

    Robert Axelrod reçu 14 disquettes de programmes envoyées par des collègues, universitaires également intéressés par ce tournoi. Chaque programme proposait des lois différentes de comportement (pour les plus simples, deux lignes de code de conduite, pour les plus complexes, une centaine). Le but étant d'accumuler un maximum de points.

    Certains programmes avaient pour règle d'exploiter au plus vite l'autre, de lui voler ses points puis de changer de partenaires. D'autres essayaient de se débrouiller seuls, gardant précieusement leurs points et fuyant tout contact avec ceux susceptibles de les voler. Il y avait des règles du type : "Si l'autre est hostile, l'avertir qu'il doit modifier son comportement puis procéder à une punition." ou encore : "Coopérer puis trahir par surprise."

    Chaque programme fut opposé 200 fois à chacun des autres concurrents. Celui d'Anatol Rapaport, équipé du comportement CRP (Coopération-Réciprocité-Pardon), battit tous les autres.

    Encore plus fort : le programme CRP, placé cette fois en vrac au milieu des autres, était au début perdant devant les programmes agressifs, mais il finit par être victorieux puis même "contagieux" au fur et à mesure qu'on lui laissa du temps. Les programmes voisins, constatant qu'il était le plus efficace pour accumuler des points, alignèrent en effet leur attitude sur la sienne. A la longue la méthode est payante. Ce n'est pas de la gentillesse, il y va juste de votre propre intêret démontré par l'informatique.

     L'encyclopédie du savoir relatif et absolu, Bernard WERBER

       

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